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Question

Bonjour pouvez vous m'aider svp je dois faire la suite en 17 lignes max à partir du texte mais ne pas faire de fin laissez un suspense svp aidez moi c'est très urgent
Bonjour pouvez vous m'aider svp je dois faire la suite en 17 lignes max à partir du texte mais ne pas faire de fin laissez un suspense svp aidez moi c'est très

1 Réponse

  • - Tu me demandes ce que tu m'as fait, vieux Wang-Fô ? dit l'Empereur.
    Le silence seul répondit à ce tonnerre qui fit trembler les tentures de la pièce.
    D'une voix soudain suppliante, emprunte de douleur l'empereur laissa échapper ce qui parut à Ling une larme...

    - J'ai une prière a t'adresser vieux Wang-Fô, malgré tous mes pouvoirs il y en a un que je ne peux avoir, celui de recevoir l'amour de Dame Zhao...

    - Je suis ton humble serviteur, si je peux t'aider...

    - Ne m'interromps pas insolent ! coupa l'Empereur
    Ses yeux reptiliens se plissèrent affreusement alors que ses naseaux émirent un jet de vapeur inquiétant, Ling ne perdait rien de la scène ce qui ne l'empêchait pas de trembler de peur tout en retenant son souffle dans le plus total silence. 
    -Tu vas peindre pour moi repris la voix de l'empereur, je veux que cette peinture rende Dame Zhao docile, qu'elle soit subjuguée par Dragon Céleste, il te reste très peu de temps pour accomplir cette tâche.

    Une odeur épouvantable émanait du trône et Ling se demandait comment il allait bien pouvoir séduire Dame Zhao en sentant aussi mauvais. Mais pourquoi donc l'empereur ne prenait pas un aspect plus attrayant ? Pensa Ling. Après tout, il était réputé dans tout le territoire des Han pour changer d'aspect comme il le souhaitait. Pourquoi ne pas se transformer en un cheval ailé, ou bien en un buisson de fleurs odorantes, cela aurait été beaucoup plus simple de séduire... mais déjà Dragon Céleste avait repris sa voix basse et s'adressait à ses gardes toujours rangés comme des statues au pied du trône de l'empereur
    - qu'on les détache, qu'on leur donne à manger et tout ce qu'ils auront besoin, souffla t-il.
    L'empereur sembla se replier sur son trône on ne voyait plus que ses mains crispées sur l'accoudoir de jade et après un léger battement d'ailes il reprit,
    - nul ne doit regarder ce qu'il peint sous peine de se voir crever les yeux.
    La pièce s'obscurcit et...