bonjour, je cheche une personne pour m'aider a faire une dissertation de francais pour réussir ma dernière année . ma dissertation porte sur le mensonge et doit
Français
poulette6
Question
bonjour,
je cheche une personne pour m'aider a faire une dissertation de francais pour réussir ma dernière année .
ma dissertation porte sur le mensonge et doit comporter 5 arguments et 1 introduction et une conclusion.
Donc je cherche une âme charitable pour me la faire ce qui serrait un bonne entrainement pour tous ceux qui veulent .
cordialement poulette6
je cheche une personne pour m'aider a faire une dissertation de francais pour réussir ma dernière année .
ma dissertation porte sur le mensonge et doit comporter 5 arguments et 1 introduction et une conclusion.
Donc je cherche une âme charitable pour me la faire ce qui serrait un bonne entrainement pour tous ceux qui veulent .
cordialement poulette6
1 Réponse
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1. Réponse maudmarine
Juste quelques idées :
Le droit moral est le droit tel que le définit ma raison ou ma conscience. Il me renvoie donc à ce que ma conscience exige ou approuve. Pourtant, les principes moraux ne sont ni subjectifs, ni arbitraires. Je ne peux légitimement reconnaître comme droit pour moi que ce que je puis accepter pour les autres. Le principe moral (ne pas tuer, ne pas voler, ne pas mentir…) vaut donc en droit pour tous. De plus, la raison ne peut accepter un "droit de mentir". car le mensonge est fait pour tromper, il implique insincérité et duperie. Il ne faut pas mentir, car le mensonge est condamnable, on doit toujours dire la vérité, il ne faut pas se faire d’illusions. Vaut-il mieux mentir ou dire la vérité lorsqu’il s’agit de préserver un individu ? Si le mensonge est condamné au nom d’un rapport à l’autre, ne peut-on pas considérer qu’au nom de l’autre il est parfois mieux de mentir ? Peut-on accorder un droit de mentir. Au sens strict, il ne saurait y avoir de droit de mentir, le mensonge est à première vue tout le contraire du droit, notamment parce qu’il ruine la relation de confiance que le droit cherche à instaurer. Pourtant, le recours au mensonge n'est pas toujours mauvais, car il peut devenir un devoir parfois. Nous tolèrerons cependant des exceptions lorsque le mensonge est au service d’un intérêt légitime. Mais nous serons vigilants car, reprenant la mise en garde de J S Mill : "Pour que l'exception ne soit pas élargie plus qu'il n'en est besoin et affaiblisse le moins possible la confiance en matière de véracité, il faut savoir la reconnaître et, si possible, en marquer les limites". C'est peut-être une réponse que nous pourrions faire à Kant: trouver le moyen de sauver la règle qui condamne le mensonge en fixant clairement les limites dans lesquelles on pourra s'y soustraire. Il faudrait pour cela définir à quelles conditions un homme peut revendiquer un droit de savoir et par suite, l'interdiction qu'on lui mente. Le droit moral est le droit tel que le définit ma raison ou ma conscience. Il me renvoie donc à ce que ma conscience exige ou approuve. Pourtant, les principes moraux ne sont ni subjectifs, ni arbitraires. Je ne peux légitimement reconnaître comme droit pour moi que ce que je puis accepter pour les autres. Le principe moral (ne pas tuer, ne pas voler, ne pas mentir…) vaut donc en droit pour tous. De plus, la raison ne peut accepter un "droit de mentir". car le mensonge est fait pour tromper, il implique insincérité et duperie. Il ne faut pas mentir, car le mensonge est condamnable, on doit toujours dire la vérité, il ne faut pas se faire d’illusions. Vaut-il mieux mentir ou dire la vérité lorsqu’il s’agit de préserver un individu ? Si le mensonge est condamné au nom d’un rapport à l’autre, ne peut-on pas considérer qu’au nom de l’autre il est parfois mieux de mentir ? Peut-on accorder un droit de mentir. Au sens strict, il ne saurait y avoir de droit de mentir, le mensonge est à première vue tout le contraire du droit, notamment parce qu’il ruine la relation de confiance que le droit cherche à instaurer. Pourtant, le recours au mensonge n'est pas toujours mauvais, car il peut devenir un devoir parfois. Nous tolèrerons cependant des exceptions lorsque le mensonge est au service d’un intérêt légitime. Mais nous serons vigilants car, reprenant la mise en garde de J S Mill : "Pour que l'exception ne soit pas élargie plus qu'il n'en est besoin et affaiblisse le moins possible la confiance en matière de véracité, il faut savoir la reconnaître et, si possible, en marquer les limites". C'est peut-être une réponse que nous pourrions faire à Kant: trouver le moyen de sauver la règle qui condamne le mensonge en fixant clairement les limites dans lesquelles on pourra s'y soustraire. Il faudrait pour cela définir à quelles conditions un homme peut revendiquer un droit de savoir et par suite, l'interdiction qu'on lui mente.